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Rien de pire que ce vaste inconnu qui pourtant me ressemble

On pourrait évoquer le processus créatif artistique et le processus créatif au sein de la nature. Ainsi, selon une base de réflexion, à l’instar de la nature elle même, l’œuvre d’art se constituerait par des strates successives et se composerait à l’image du paysage naturel, d’éléments prélevés, déplacés puis greffés, paysages sur terre ou cosmiques.

Ainsi la mémoire de ce que l’on perçoit jouerait un vrai rôle. Le processus créatif serait après coup, la libération de la mémoire dans ses formes les plus abstraites, utilisant la nature comme indicateur, partant d’une phénoménologie dont la matière vivante est substrat, infini. Bien sûr le créatif rejoint la question des origines. La question est personnelle, substantielle et permanente en soi, rapport de droit ou de vérité, immuable, indépendante des faits qui dépassent l’ordre de la réalité  déterminée. Ne résulte pas de jeu naturel d’une certaine classe d’êtres ou actions et supérieure à celle-ci.

Dieu serait l’heureux élu… Rien n’est absolu dans la recherche scientifique. Il faut se tourner ailleurs pour trouver la réponse. En pratiquant la méditation, la question demeure intacte, elle est intrinsèquement liée à la nature humaine. Est-ce le fait de savoir qui rend l’homme plus heureux, plus serein, plus équilibré, plus libre ?

Pourquoi ne vois tu pas la lumière qu’il y a autour de toi

Il y a une puissante constante sur la terre à laquelle on ne fait pas attention parce qu’on décide de vivre autrement